Le maintien de la sécurité et de l’ordre public est une tâche qui revient aux forces de l’ordre. Ces dernières font toutefois un usage disproportionné de la force qui leur est accordée. Un tel état de chose entraîne inévitablement une méfiance de la part des populations que la police est censée protéger. L’une des dérives qui revient le plus souvent est celle relative aux personnes de couleur. Ces paisibles citoyens sont stigmatisés et traités de manière indécente sans qu’aucun motif valable ne puisse être avancé. Le tableau des violences commises par les policiers est maculé d’atrocités.
Des policiers sadiques
Le rôle des policiers étant purement sécuritaire, ces derniers disposent de moyens techniques et matériels qui leur confèrent une véritable supériorité. Il arrive cependant, qu’ils en usent mal. Les policiers appréhendent pour un rien des quidams qu’ils jugent louches. Ils font des contrôles qui les discriminent et les battent pour se défouler. Juste par plaisir. Leurs propos sont racistes et heurtent la sensibilité. Ils emploient contre ces citoyens livrés à eux-mêmes des méthodes abusives qui ne répondent à aucune norme policière.
Pendant les éventuelles interpellations, ils torturent et infligent des séquelles tant morales que physiques. Dans ces pays, manifester pour bénéficier d’un avantage peut nuire gravement. En effet, les forces de l’ordre supposées assurer la sécurité pendant ce genre de manifestations abattent leurs courroux sur la population et les intoxiquent grâce aux gaz lacrymogènes. Les forces de l’ordre prennent leurs pieds à violenter.
Des mesures immédiates
Les autorités compétentes sont invitées au respect des engagements internationaux, pour lutter contre ce racisme organisé au sein de leurs forces de l’ordre. Ils sont aussi invités, à prendre des dispositions immédiates pour remédier à la torture, et aux traitements inhumains infligés à la population. Si les autorités ont du cœur, elles devraient refléter la justice tant prônée en punissant les différents auteurs de ces bavures policières.