La crise économique a pris de l’ampleur avec le coronavirus. Plusieurs pays ont accumulé beaucoup de dettes. Eliminer la dette publique désamorcerait-il la crise ? C’est à cette question que va répondre cet article.
La Banque Mondiale décide de suspendre la dette
Après une grande analyse de la situation, la banque mondiale décide d’aider les pays. En effet, il s’agit d’une suspension des dettes pour une relocalisation des ressources pour la lutte contre le covid19. Les pays les plus pauvres sont concernés par cette situation. Depuis avril 2020 cette loi a été approuvée par les autorités compétentes. La DSSI se charge de la régularisation de cette situation. Elle aide les pays en voie de développement.
Près de 39 pays participent à ce programme spécial. Les pays concernés sont ceux qui possèdent une dette bilatérale. Elle couvre la période de mai à décembre 2020. Le FMI et la Banque Mondiale suivent de près ces différents pays. Ces fonds sont destinés à faciliter une rehausse de l’économie en chute. Les pays peuvent investir pour aider la population à traverser cette crise.
Que pense l’Union européenne de l’élimination de la dette publique
La crise sanitaire augmente le montant de la dette de nombreux pays. Dans tout le continent, cette crise a réduit les entrées économiques. Ensuite, elle a fait monter la dette approximativement à 120 % du PIB en France par exemple. Dans la zone euro, on parle plutôt d’une réforme du PSP. Selon ces acteurs, un fonds budgétaire permanent aurait permis de vite régler les problèmes économiques. Le Covid 19 a surpris beaucoup de monde. Les pays ont dû investir de l’argent pour contenir la crise sanitaire.
Cette fameuse réforme doit prendre en compte la centralisation des fonds budgétaires, le suivirent des pays membres dans le maintien de la dépense publique. En plus, il propose une réduction de la dette de chaque pays avec un pacte de croissance réformé et stabilisé. Il ne s’agit pas d’éliminer totalement la dette. L’EFB propose de donner une grande période pour la réduction de la dette des pays à fort endettement. Une seconde alternative est l’augmentation du taux de référence de la dette à 60 % du PIB.